Bistro-brasserie servant bières artisanales en fût et en canette. Nourriture bistro à base de produits locaux.
Rassembler les assoiffés de découvertes brassicoles au cœur des forêts de la Matawinie, les aguerris comme ceux qui font leurs premiers pas dans le monde des bières artisanales.
Devenir un lieu de découvertes, où les gens vont oser, essayer, goûter… et probablement aimer.
Continuer de nous dépasser en créant et en produisant des bières d’avant-garde de qualité, toujours dans l’esprit de répondre à la demande de nos clients.
Renouveler notre menu avec des produits du terroir et des produits saisonniers qui reflètent la générosité et la qualité de ce qui se fait dans la région.
Faire rayonner notre culture et nos artistes en présentant des spectacles, des expositions et des jams.
Favoriser les rassemblements, les rencontres et le plaisir.
Le Trécarré, c’est bien plus qu’une microbrasserie, c’est bien plus qu’un bistro… C’est un lieu de rassemblement. Et c’est une façon de se rassembler.
Nous sommes situés en plein cœur du village de Saint‐Côme, dans Lanaudière, dans une maison qui date du début du 20e siècle. Nous avons décidé de nous implanter dans un endroit qui nous inspirait par sa vitalité et sa richesse culturelle. Saint-Côme a d’ailleurs été nommé « Capitale québécoise de la chanson traditionnelle » en raison de la forte concentration de chanteurs et de chanteuses qui y ont habité et qui y habitent encore. Nous voulons d’ailleurs prendre cette tradition chantée qui a perduré dans le temps, et la mettre en lumière, notamment par nos évènements culturels et nos jams de musique traditionnelle.
C’est donc dans un village dynamique, fier de ses racines et attaché aux valeurs patrimoniales et culturelles que l’entreprise s’est implantée en décembre 2017.
Si nous nous sommes rapidement enracinés dans cette communauté, les gens de la place et des alentours ont rapidement adopté la microbrasserie comme lieu de rassemblement et de plaisir. Ils ont fait du Trécarré leur microbrasserie. Ils se sont réapproprié la maison ayant appartenu à M. Arthur Bordeleau et sa famille au début des années 1900, et se sentent probablement comme on se sentait dans ces années-là, quand on entrait chez quelqu’un pour venir prendre un petit verre ou pour souper : ils se sentent les bienvenus.